Philippe Ep 17 : Au Son Du Clairon
PHILIPPE
EP 17 : AU SON DU CLAIRON
Le lendemain on était réveillés à l'aube ! Non là je déconne, Alex qui comme tout le monde le sait est un amour nous avait laissé jusqu'à dix heures du matin. Bon pour nous c'était encore le milieu de la nuit, j'avais dû m'endormir vers cinq ou six heures du matin.
Ce matin c'était au clairon, oui au clairon, ils ont osé nous réveiller au clairon, comme à l'armée. Sur le coup je n'ai pas eu le temps de voir qui nous faisait cette blague, et je vous garantis que je ne l'ai pas trouvée drôle. La porte s'est ouverte, le clairon nous a fait exploser les oreilles, Ethan et moi on a fait un bond sur le lit, Ethan était un peu paniqué moi j'étais hébété, ont suivi les hurlements d'un sergent du corps des marines, vous savez comme on voit dans les films, on a l'impression qu'il aboie tout le temps le sergent : '' DEBOUT TOUT LE MONDE BANDE DE PETITS BRANLEURS. AU GARDE A VOUS TOUT DE SUITE DEVANT CETTE PORTE ! '' .
Ethan : Mais c'est qui ? C'est quoi ? Qu'est ce qui se passe ici ?
Il n'y avait plus personne mais la porte était restée ouvert. On entendait alors la même chose, la même musique, les mêmes hurlements qui venaient de la chambre à côté.
Moi : Bon, le mieux c'est d'aller voir ! J'ai ma petite idée, il me semble que je connais cette voix.
Je me levais et sortais de la chambre, Ethan suivait. Quand on arrivait à l'extérieur, on entendait la même musique, les mêmes cris qui venaient de la troisième chambre. Victor sortait de la seconde chambre, il était suivi par un mec de plus de deux mètres de haut, un black, monté comme un âne. Je prenais sur moi, je vous jure qu'à ce moment j'avais envie de lui sauter dessus. Enfin pas sur Victor, soyons clairs, mais sur le mec qu'il avait ramené
C'est vrai quoi moi j'aime bien la couleur, je m'était trouvé un garçon métissé mais lui il avait trouvé encore mieux
Quoi que
En regardant de plus prêt, les deux étaient canons.
C'est bien Dave qui sortait de la troisième chambre avec le clairon sous le bras, Alex suivait, visiblement sans conviction. Théo sortait en se grattant les fesses, il était suivi par un garçon un peu plus petit que lui, très mignon, bien proportionné
Qui portait un dispositif de chasteté Céramique ( on les appelle comme ça à cause de leur couleurs et de leurs aspect, c'est en fait du composite ).
Vous imaginez la scène, à part Dave et Alex nous étions tous les six à poil, on se saluait, on échangeait nos impressions sur les copains des autres avec quelques signes.
Dave : Pas de distraction dans les rangs les filles. GARDE A VOUS !
Nos trois nouveaux amis et Victor obtempéraient. Théo et moi ne bronchions pas.
Dave : Je vois qu'ils ont bien fait de m'envoyer pour veiller sur vous, il y a du relâchement. Mais regarde toi Philippe tu as pris trois kilos et ça ne fait que quelques jours que tu es là
( Il appuyait fermement un doigt sur mon ventre )
Moi : Mais ?
que !
enfin
Il s'arrêtait devant Ethan, le regardait de la tête au pieds : '' Oui là c'est pas mal, ça peut aller ''. Il passait ensuite à Victor : '' Bon toi ça peu presque aller, tu as pris l'habitude de sauter l'entraînement matinal mais à part ça
Il ne faut pas que tu te laisses aller si tu veux continuer à la PK Université à la rentrée, sinon tu vas souffrir . ''
Victor : Oui M'sieur !
Il passait alors au compagnon de Victor, le regardait lui aussi de la tête au pieds, son regard faisait une pause au niveau de sa queue, au repos elle devait déjà dépasser les vingt centimètres.
Dave : Et toi tu es ?
Billy : Billy M'sieur ! ( en réajustant sa position du garde à vous )
Dave : Bien Billy, c'est très bien ça Billy, c'est très bien
Suivait le camarade de Théo.
Dave : Et toi tu es ?
Max : Max Monsieur ! ( Celui-là il portait un dispositif de chasteté )
Dave : Dis moi Max, tu as l'intention d'entrer à l'université PK ?
Max : Oh non M'sieur.
Dave : Et tu portes ce dispositif
Max : Par choix M'sieur !
Dave : Et bien je crois que c'est toit qui a le plus de chance avec Victor de se faire apprécier dans cette famille de dingues.
Dave : Famille de dingues ! Il lui fallait un coach de dingue, c'est moi
DAVE
On va se remettre en forme, un petit footing
Vous commencez à courir sur place et on me suit
Dave aboyait comme une caricature d'officier des Marines et avait fini par impressionner tout le monde. Comme d'un seul geste tout le monde le suivait, sauf moi ! Je recevais alors une claque sur la fesse, c'était Alex.
Alex : C'est ton grand père qui l'a envoyé, il m'a aussi demandé de m'assurer que tu suivrais le mouvement. Alors
Dave nous entraînait dans un coin du jardin ou nous n'étions jamais allé, un énorme portail qui fermé ressemblait à une palissade était ouvert, on courait dans un chemin large comme une route qui conduisait au parc derrière la maison ( au nord de maison ) il y avait une entrée de ce côté qui était réservée aux livraisons.
Moi : Tu es un marrant toi Dave mais je te ferais remarqué qu'on est tout à poil, et que toi, tout habillé tu es là à nous aboyer dessus
C'est humiliant !
Deux secondes plus tard je recevais son pantalon de training dans la figure. Bon il est comme ça Dave. J'en profitait pour me rincer lil, il est super bien foutu et il porte toujours un dispositif de chasteté en titane. Sexy le mec !
Dave : Alex tu as entendu, c'est humiliant ! Tu sais ce qu'il te reste à faire !
Alex me suivait et je l'entendais, un grand soupir, je me retournais il retirait ses vêtements lui aussi ! Il ne porte toujours pas de dispositif Alex, mais il est sexy quand même
On arrivait au parc derrière la maison.
Dave : Nous somme dans un parc de un kilomètre de long sur cinq cent mètres de larges ce qui nous fait une circonférence de
Max : Deux kilomètres ?
Dave : Bon toi, tu fais bien de ne pas postuler pour l'université
Billy : Trois M'sieur !
Dave : Bien ! Trois c'est un peu mieux ! On en fait cinq fois le tour ce qui nous fera
?
Si il y en a un qui répond douze kilomètre il le fait deux fois de suite !
On finissait par revenir, un peu essoufflé, moi j'étais sur les rotules.
Dave : Je vois que Monsieur Brosso fait le fier après chaque séance de sport !
Je bandais bien ferme, tout le monde me regardait et rigolait. Je prenais l'air vexé : '' Peuhhh, vous vous moquez, peuhhh, oui bein c'est parce que je me sens bien moi ''
je faisais des manière et mexhibais un peu.
En fait je me donnais de la contenance parce que je ne savais plus ou me mettre! On prenait une douche à l'extérieur, j'avais un mal fou à me calmer. Ou que je regardais, mes yeux étaient attirés par la queue de Ethan ou mieux encore celle de Billy. Il s'en était rendu compte Billy et savait en jouer, il savait m'allumer.
Nos invités nous quittaient après le petit déjeuner c'est à dire vers l'heure du dîner. Bein oui on était en vacances. Dave avait retrouvé son calme et nageait dans la piscine. Il nous faisais la morale, à moi surtout, j'avais pris trois kilos, et c'est vrai mon miroir électronique me l'a confirmé. Il décidait donc de prendre des mesures draconienne, Séance de sport tous les matins, il nous laisserait tranquille jusqu'à dix heures mais à dix heures tous debout et en forme pour un footing et un peu plus
'' Philippe c'est ton grand père qui m'a envoyé alors on ne rigole pas, sauf bien sûr si tu préfères que ce soit ton père qui impose les mesures nécessaires
''.
L'argument était fort et faisait mouche, je me disais qu'il fallait mieux que ce soit un employé de mon grand père que de mon père. Celui là plus on le gardera éloigné de notre quotidien, mieux on sera !
Dans le reste de la journée on faisait une descente sur la plage et on passait une bonne partie de l'après midi à nous initier au ski nautique.
Victor me disait que Billy n'était que actif et ne s'intéressait qu'à des mecs qui portent un dispositif de chasteté, il les trouvait plus chaud, souvent plus chaud que les femmes. Victor a rajouté : '' Il m'a dit en plus qu'il me trouvait trop mignon ''.
Moi : Mais c'est que moi aussi je te trouve très mignon.
Finalement on restait sage ce soir là. Moi j'en avait pris plein le cul, ça m'avait calmé, Victor également. Pour ce qui est de Théo il traînait un peu, il entrait après nous mais, seul !
Il est mignon Victor, un soir, le soleil se couchait je l'admirais allongé sur une transat à côté de la piscine, il semblait bien s'habi à ce mode vie. Nous étions nus, enfin moi j'étais nu lui presque
Je prenais beaucoup de plaisir à admirer son corps, il n'avait pas grossi lui et avec l'intervention de Dave il s'était même embelli. De plus moi j'avais perdu mes trois kilos de trop.
Victor avait maintenant la peau ambrée, je ne vous ai pas dit que j'aimais bien la couleur, le ciel était encore bleu sur l'horizon mais devenait noir de l'autre côté ou au zénith.
Victor : C'est moi qui te met dans cet état ?
Je bandais, et pour une fois ce n'est pas à ça que je pensais mais à la beauté des formes, des courbes musculaires de Victor, à son visage doux qui tenait encore quelques traits de l'enfance. Je réagissais, me caressais la queue, lui souriais et en guise de réponse, d'un geste de la main je l'invitais à s'approcher.
Quelques secondes plus tard, il était installé entre mes jambes et me suçait la queue, je lui caressais les cheveux. Je l'encourageais en le félicitant sur sa technique, il s'améliorait de jour en jour. Je le complimentait sur sa musculature, la douceur de sa peau, je vous jure que là j'avais pas besoin d'inventer. Je lui parlait de Billy, il ne pouvait pas me répondre, bon il ne faut pas déconner je retenais sa tête et je n'avais pas envie de faire causette. Je lui parlais juste histoire d'avoir un échange social quoi !
C'est vrai que je lui caressais la tête, qu'il avait ma queue dans la bouche, sa langue qui s'enroulait autour de mon gland
Pour ce qui est de l'échange social on était très proche. On fera causette plus tard !
Plus ma queue s'enfonçait dans sa bouche, plus je pensais à Billy. J'imaginais Victor avec la queue de Billy dans la bouche, s'il avait réussi à l'avaler celle-là je comprenais ses progrès. Mais en érection elle est comment la queue à Billy, j'aimerais bien voir ça moi. Elle fait déjà ses vingt bon centimètre au repos, en érection elle doit être à
trente, trente cinq, plus ?
Victor faisait des bruits bizarres et me tapais sur le haut des cuisses. Je réagissait, sans m'en rendre compte, perdu que j'étais dans mes pensées je lui retenais la tête avec force et le pauvre ne pouvait plus respirer, il était tout rouge. Je le lâchais, il relevais la tête.
Victor : Mais tu veux me ou quoi ? Je ne pouvais plus respirer.
Moi : Excuse moi, j'étais perdu dans mes pensées.
Victor : ( en reprenant son souffle ) Et tu pensais à quoi ?
Moi : Ton pote Billy tu l'as trouvé ou ?
Victor : Mon pote Billy ! Avec lui aussi j'avais du mal à respirer !
Victor continuait, ma queue entrait rapidement jusqu'à la garde, je n'osais plus appuyer sur sa tête moi. J'entendais la voix d'Alex.
Alex : Tu vas bien Philippe besoin de rien, ton copain Théo n'est toujours pas rentré ?
Moi : Continue Victor, il ne peut pas te voir !
Non Alex tout va bien !
Alex descendait de l'étage avec un plateau sur la main. Il posait un cocktail de fruits juste à côté de moi.
Alex : Monsieur Philippe n'aura besoin de rien, je ne sais pas, un gode, un plug, un gode ceinture par exemple ?
Victor n'avait pas entendu Alex approcher, et je sentais une réaction de surprise, il tentait de se dégager.
Moi : Non merci Alex, tout va bien, j'ai tout ce qu'il me faut !
Alex : C'est ce que je vois ! Et monsieur Victor n'aura besoin de rien non plus, je vous dépose un rafraîchissement sur la table basse à côté de vous. Vous êtes comblé monsieur Victor ?
Victor tentait de relever la tête, je le retenais et ma queue ne sortait pas totalement de sa bouche. C'est donc en relevant les yeux qu'il regardait Alex en lui faisant non, puis oui, puis non encore de la tête.
J'entendais Alex qui s'éloignait en rigolant.
Moi : Là Alex tu es un enfoiré !
Victor : Philippe tu n'aurais pas pu me prévenir qu'il approchait ?
Moi : Si, j'aurais pu !
Alex : Alors là Monsieur Philippe, je crois que c'est pas moi l'enfoiré !
Je l'entendais pouffer de rire quand la porte de l'ascenseur se refermait. Victor me regardait il faisait la gueule.
Victor : Pourquoi tu m'as pas dit qu'il approchait ?
Moi : J'ai pas pensé.
Victor : Tu m'as dit qu'il ne pouvait pas me voir
Moi : Tu veux pas te rafraîchir, il t'a apporté un cocktail de fruits qu'il a fait avec amour
Victor : Tu es vraiment un enfoiré !
Moi : Bon tu continue à me sucer ou tu préfères que je t'encule ?
Il me regardait avec de grands yeux ronds mais finalement me laissait faire. C'est donc avec mon romantisme habituel que je le lubrifiais généreusement, je me lubrifiais la queue tout aussi généreusement, prenais position puis enfonçais ma queue bien à fond en un mouvement rapide. Il gueulait !
Victor : Tu me fais mal, j'aime pas quand tu me prends comme !
Je me calmais, je ne bougeais plus. Il serrait les dents et finissait pas se détendre. Doucement je reprenais alors mes mouvements de va et vient. Je me retirais presque en entier, je l'entendais soupirer. Je revenais bien à fond, je l'entendais gémir et se crisper.
Progressivement j'accélérais les mouvement. Victor râlait de plaisir maintenant. Finalement il aime bien se faire démonter le cul le petit Victor. Je me lâchais. Mes mouvements devenaient rapides, toujours très amples, je ressortais ma queue complètement, par moment je rajoutais une grosse goutte de gel puis je replongeais avec violence, je m'amusais à faire claquer mon ventre contre ses fesses, il hurlait, se redressais mais il aimait.
Je passais mes bras autour de ses épaules et le serrais contre moi, il passait ses bras dans mon dos. C'était pour me caresser ou pour me repousser ? Je ne sais pas, je n'arrêtais pas mes mouvements qui étaient maintenant rapides et violents. Il gémissait de plaisir, penchait la tête sur le côté, j'en profitais pour l'embrasser sur l'épaule et dans le cou.
A cet instant nous entendions une voix très claire et très forte juste derrière moi. On sursautait, Victor hurlait !
Alex : Je venais seulement m'assurer que Monsieur Philippe et Monsieur Victor n'avaient besoin de rien
Moi : Alors là Alex je te le dis
TU ES UN ENFOIRÉ !
Alex : Alors là Monsieur Philippe je veux bien le concéder !
Il traversait la terrasse prenant un air dégagé, entrait dans l'ascenseur, nous regardait en faisant la moue. Nous étions debout, un genou appuyé sur un transat, je tenais Victor contre moi, j'étais toujours bien en place, ma queue bien enfoncée dans son cul.
Alex : On passe à table dans une heure, vous désirez quelque chose de précis. Théo a téléphoné il ne rentre pas il se fait une pizza. Il ne faudrait pas oublier que je suis là pour vous chaperonner les jeunes
Je vous ai à lil !
Victor et moi éclations de rire.
Victor : Il est toujours comme ça ?
Moi : Uniquement quand on est entre nous !
On rigolait, je reprenais et continuais à lui pilonner le cul, il râlait , je continuais à rigoler mais pas lui
Je n'avais pas débandé pendant tout ce temps. Remarquez j'avais dix sept ans, c'est peut être un peu pour ça. On ne débande pas si facilement que ça quand on a dix sept ans.
Mes coups étaient violents, rapides, Victor s'était penché en avant et se retenait au transat, c'est tout ce qu'il avait trouvé. Je hurlais au moment ou je jouissais dans son cul, mes derniers coups de bassin étaient particulièrement violents, je le tirais contre moi, je tremblais, je le sentais trembler également puis je le lâchais. Il avait joui aussi, il avait juté, je le regardais avec un petit sourire victorieux. Il s'était laissé tombé sur le sol, il passait une main sur son cul et me regardait en fronçant les sourcils.
Rapidement on passait sous la douche, il y en a une à côté de la piscine, puis, histoire de taquiner Alex on se rendait à la petite salle à manger à poil.
Alex : Mais vous auriez du me prévenir que c'était un repas habillé messieurs
Il repartait en rigolant, quelques instants plus tard quand il revenait pour nous servir, il était à poil lui aussi. Victor regardait ça avec envie, Alex est bien foutu et ne porte pas de dispositif de chasteté
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@CharlyChast
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